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Les fioles de l’imposture vaccinale

responsables de l’hécatombe covidale

 

L’audition au Parlement européen, le 10 octobre 2022, de Janine Small, chargée auprès de Pfizer des marchés internationaux du laboratoire, a permis de démasquer l’imposture sanitaire, de confondre la maffia gouvernementalo-pharmaceutique occidentale. Interrogée par un député européen, la responsable du laboratoire avait déclaré : « Savions-nous l’effet sur l’arrêt de l’immunisation (lapsus avec le mot « transmission », nda) avant la mise sur le marché ? Non. ».  Pour justifier la commercialisation précipitée, donc prématurée, de ce produit chimique en phase expérimentale, Janine Small avait excipé, non pas d’un argument d’urgence médicale, mais de vitalité financière : « Pfizer avait vraiment dû avancer à la vitesse de la science, mettant en avant les investissements risqués – à hauteur de 2 milliards – pour la recherche et le développement du vaccin », comme le rapporte le journal Libération.

Autrement dit, l’efficacité du vaccin anticovid contre la transmission n’avait pas été évaluée avant sa mise sur le marché. Ce faisant, rien ne permettait non plus d’affirmer que la vaccination protégeait contre la transmission, ou même simplement contre l’infection.

Question : les autorités occidentales, tout comme l’OMS, organisation entièrement inféodée aux intérêts de Big Pharma, ont-elles menti sur l’efficacité du vaccin ? Une chose est sûre, à la date de la mise sur le marché de ce produit commercial à base d’ARNm, les gouvernements occidentaux ignoraient, au vrai, dans quelle mesure le vaccin pouvait empêcher l’infection ou réduire la charge virale des patients. Et donc, de diminuer le risque de diffusion du virus. Et, pourtant, tous les gouvernements occidentaux, avec la même résolution concertée, avaient autorisé la commercialisation des fioles présentés comme étant des vaccins capables d’endiguer définitivement le coronavirus.

Avec la guerre de l’Irak de 2003, pour justifier l’intervention militaire américaine, qui provoquera le massacre d’1,3 millions de civils irakiens, nous avions eu droit à la fiole du mensonge (anthrax) exhibée par le secrétaire d'État américain Colin Powell devant le Conseil de sécurité des Nations unies (1), en 2020-2021, nous avons eu droit aux fioles de l’imposture Big Pharma pour légitimer la vaccination forcée de centaines de millions de personnes, et le massacre de six millions de malades, mortes faute de soins, c’est-à-dire d’une réelle médication curative et d’un traitement médicamenteux efficient, tous deux curieusement interdits dès le déclenchement de la pandémie. En effet, les médecins avaient interdiction de soigner leurs patients présentant les symptômes d’un état grippal. De même, il leur était défendu de prescrire les habituels médicaments, notamment l’hydroxychloroquine et Azithromycine, comme le préconisait dès le début de l’épidémie le Pr D. Raoult.

Cette stratégie « tout vaccinale », au vrai purement mercantile, étant donné l’inefficacité avérée des vaccins ARNm, aura provoqué la mort de plus de 6 millions de personnes dans le monde. Preuve de l’inefficacité de cette stratégie « tout vaccinale » imposée par l’OMS (autrement dit Big Pharma), 80% des décès liés au Covid ont été enregistrés dans les pays occidentaux ou sous domination atlantiste (Afrique du Sud, Brésil, Tunisie). Malades décédés non pas à cause des vaccins (totalement inopérants), mais faute d’une authentique médication prophylactique et curative, et de traitements médicamenteux.

Autrement dit, par la faute des gouvernants occidentaux, plusieurs millions de personnes, majoritairement âgées ou vulnérables, auront été euthanasiées, sacrifiées sur l’autel des multinationales pharmaceutiques. Par cette orchestration d’euthanasie  de plusieurs millions d’individus, en majorité des personnes âgées et vulnérables, décédés par absence de soins curatifs conventionnels ordinairement prodigués par les médecins (sommés par les gouvernements de refuser de prendre en charge leurs patients présentant les symptômes grippaux . On se souvient que la recommandation officielle relayée notamment par les médias audiovisuels sous forme de publicité était : « en cas de symptômes grippaux, éviter de vous rendre chez votre médecin ou aux Urgences ». Autrement dit, « si vous êtes malades, crevez chez vous ». Les dirigeants de maisons de retraite avaient également interdiction d’acheminer leurs pensionnaires malades vers un hôpital ou un cabinet médical. Sous couvert d’éviter l’engorgement des Urgences et la propagation du virus, la consigne était le maintien du pensionnaire à l’isolement, c’est-à-dire son confinement dans sa chambre, jusqu’à ce que la mort elle-même vienne administrer ses derniers  sacrements : cela s’appelle non-assistance à personne en péril dans un contexte de pandémie, voire d’homicide, c’est-à-dire délaissement ayant provoqué la mort), donc par cette orchestration d’euthanasie le capital réalise désormais, annuellement, des dizaines de milliards d’économie à la fois sur les pensions de retraite et les dépenses de santé. L’Europe et les États-Unis auront sacrifié 3 millions de « surnuméraires », véritables fardeaux financiers du point de vue du capital : « l’argent macabre » économisé servira à financer leur réarmement, leurs guerres contre la Russie et la Chine. Ainsi fonctionne le capitalisme mortifère. Au plan économique : « Le capital est du travail mort, qui, semblable au vampire, ne s'anime qu'en suçant le travail vivant, et sa vie est d'autant plus allègre qu'il en pompe davantage », dixit Marx. Au plan social et géopolitique, il poursuit cette opération funèbre économique par les famines, les guerres permanentes, les massacres de masse et les génocides.

En revanche, les pays ayant adopté la stratégie médicale et médicamenteuse conventionnelle, c’est-à-dire le protocole classique, notamment l’Inde, le Mexique et l’Algérie, auront déploré un très faible nombre de décès attribués au Covid.

Pour prendre l’exemple de l’Algérie, grâce au protocole préconisé par le Pr D. Raoult, adopté dès le déclenchement de l’épidémie par le gouvernement algérien, le bilan définitif du nombre de décès, en dépit du très faible taux de vaccination de la population, n’a pas été plus mortifère qu’une grippe ordinaire : 6881 morts en deux ans et demi sur une population de 42 millions d’habitants (les accidents de la route ont provoqué au cours de la même période plus 8000 morts. Toujours au cours de la même période, plus de 150 000 nouveaux cas de cancer ont été enregistrés, et plus de 600 00 décès dus au cancer. Pourtant, en Algérie comme dans aucun autre pays confronté aux mêmes fléaux, aucun plan ORSEC sanitaire n’a été déclenché pour enrayer ces hécatombes,  ni aucune mesure de fermeture des entreprises ni de restriction de circulation – notamment des voitures – n’a  été instaurée, comme ce fut le cas durant la pandémie de Covid-19).

En comparaison, la France, avec une population adulte vaccinée à plus de 80%, elle a enregistré 156 000 décès attribués au Covid pour 67 millions d’habitants. Ainsi, en Algérie, avec une population très peu vaccinée, la pandémie aura provoqué 22 fois moins de morts qu’en France.

Le pays voisin, la Tunisie, qui a misé, conformément aux recommandations de l’OMS (Big Pharma), sur l’interdiction de toute médication conventionnelle curative et traitement médicamenteux prophylactique, donc misé pour la stratégie tout vaccinale, compte 16 fois plus de morts par millions que l’Algérie.

L’Algérie confirme que le protocole préconisé par le Pr D Raoult est très efficace. La stratégie médicale et médicamenteuse choisie par le gouvernement algérien aura permis d’épargner la vie des malades du Covid, sauvés grâce à leur prise en charge médicale et médicamenteuse.  

Sans nul doute, l’hécatombe française et tunisienne, pour ne citer que ces deux pays, est liée au choix de la stratégie tout vaccinale imposée par l’OMS, c’est-à-dire Big Pharma. À l’échelle mondiale, cette stratégie tout vaccinale aura décimé 6 millions de morts : L’Europe enregistre plus de 2 millions de décès, les États-Unis 1 million, le Brésil 700 000.

Autre donnée prouvant l’inefficacité de la stratégie tout vaccinale : en dépit de la vaccination de la majorité de la population française, le Covid continue sa propagation en France (provoquée en vrai par les anticorps facilitants induits par les vaccins ARNm. Rappelons que les anticorps facilitants, au lieu de neutraliser le virus, vont faciliter sa réplication et, donc, l’infection de nouvelles cellules.  Induisant automatiquement la pérennisation des contaminations. Ainsi les vaccins aggravent les infections au coronavirus et prolongent indéfiniment l’épidémie).

Comme le titrait récemment un journal français : « Covid-19 : La circulation du virus s’intensifie, les hospitalisations augmentent ». L’Agence nationale de santé publique, organisme français, dans son dernier point épidémiologique publié le 28 octobre 2022, s’alarmait de l’augmentation du nombre de décès : « le nombre de décès toujours en hausse », déplorait-il.

A contrario, en Algérie, l’épidémie est quasiment terminée depuis 6 mois. Le nombre de nouvelles contaminations journalières est très infime en Algérie.

 

 

1- Le 5 février 2003, Colin Powell brandit une fiole devant l’ONU. Cette fiole est censée prouver que le régime irakien détient des armes de destruction massive (comme la fiole ARNm est censée enrayer l’épidémie du Covid, donc éviter l’hécatombe). Ce mensonge servira d’excuse à une intervention militaire (comme la vaccination servit de mensonge pour permettre le pillage des deniers publics par les multinationales pharmaceutiques, favorisées par les gouvernants occidentaux stipendiés qui auront combiné ce hold-up de plusieurs dizaines de milliards de dollars en quelques mois. Tout comme la pandémie servit de paravent pour soumettre l’ensemble de la population à la dictature sanitaro-sécuritaire étatique). Le secrétaire d’État avait déclaré : « Aucun doute que Saddam Hussein a des armes biologiques et la capacité d'en produire rapidement davantage (aucun doute que le vaccin ARNm a la capacité d’endiguer l’épidémie avait déclaré le groupe pharmaceutique Pfizer, note de l’auteur). Et il a la capacité de répandre ces poisons et maladies mortels de façon à provoquer des morts et destructions massives (c’est exactement ce qu’a répandu la stratégie tout vaccinale imposée par les gouvernants des pays atlantistes : poisons vaccinaux, maladies mortelles, destruction massive de l’économie, nda). Si les armes biologiques semblent trop horribles à envisager, les armes chimiques sont tout aussi glaçantes. »(on peut dire la même chose des « horribles » et « glaçants » vaccins ARNm, ces produits chimiques fabriqués par des gangsters de l’industrie létale pharmaceutique, nda).

 

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